Artist:
Georges Schneider
Title:
Migrations
Year:
1970
Adress:
Jardin des Plantes, Rouen
www.ptit-pat-rouennais.fr:
Statue forgée en bronze 'Migrations' de Georges Schneider, installée en 1970 au milieu du bassin circulaire du parvis de la gare. Elle a été déplacée au Jardin des Plantes et la ressemblance avec un arbuste du parc de la Vatine à Mont Saint Aignan est saisissante.
www.georges-schneider.ch:
Georges Schneider, sculpteur et dessinateur d'origine suisse né en 1919 dans le Jura bernois, s'installe à Paris dès 1946. En 1992, un accident vasculaire cérébral le rend presqu'aveugle et interrompt brutalement sa production. Il décède à Nogent sur Marne en mai 2010. Ce site entend faire connaître et célébrer une œuvre présente autant dans des contextes et collections publics à Rouen, au Jardin des plantes, Cathédrale de Fribourg, la chapelle Mansart, église de Saint-Séverin, Cathédrale de Senlis, église catholique Saint-Imier à Délémont que dans de nombreuses collections privées.
www:wikipedia.org:
La diversité de l'œuvre de Georges Schneider apparaît tout d'abord dans la multiplicité des techniques utilisées (terre cuite, moulage, bronze, encre de Chine, mine de plomb, fusain), et dans celles des formats (allant des petites sculptures animalières aux formes monumentales d'autels de cathédrales). Elle apparaît également dans les thèmes récurrents choisis, même si ceux-ci sont cent fois repris, approfondis comme si l'artiste n'avait jamais épuisé le sujet : l'animal (chevaux, vaches, chats…) scruté, analysé au plus près dans sa morphologie, mais aussi saisi dans sa surprenante spiritualité, la ville et ses amples structures, les hommes dans des foules en mouvement, l'exode, la migration et l'envol des oiseaux…
Georges Schneider, sculpteur animalier ? Artiste humaniste et spiritualiste ? Créateur religieux et symboliste ? Toutes ces distinctions ne semblent pas pertinentes chez cet artiste singulier, pour qui la contemplation naît du quotidien le plus concret et le plus simple, et le sacré de la force même de la vie des êtres et des formes universelles. Georges Schneider en 1981 nous dit qu'« il ne doit y avoir aucun hiatus entre l'art dit profane et l'art dit sacré, autrement dit la création doit être une, ou du moins tendre vers l'unité ». C'est donc à une quête de l'unité, à la fois cachée et révélée, que cette œuvre nous convie à travers la diversité des thèmes obstinés, des formes et des techniques.
Statue forgée en bronze 'Migrations' de Georges Schneider, installée en 1970 au milieu du bassin circulaire du parvis de la gare. Elle a été déplacée au Jardin des Plantes et la ressemblance avec un arbuste du parc de la Vatine à Mont Saint Aignan est saisissante.
www.georges-schneider.ch:
Georges Schneider, sculpteur et dessinateur d'origine suisse né en 1919 dans le Jura bernois, s'installe à Paris dès 1946. En 1992, un accident vasculaire cérébral le rend presqu'aveugle et interrompt brutalement sa production. Il décède à Nogent sur Marne en mai 2010. Ce site entend faire connaître et célébrer une œuvre présente autant dans des contextes et collections publics à Rouen, au Jardin des plantes, Cathédrale de Fribourg, la chapelle Mansart, église de Saint-Séverin, Cathédrale de Senlis, église catholique Saint-Imier à Délémont que dans de nombreuses collections privées.
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La diversité de l'œuvre de Georges Schneider apparaît tout d'abord dans la multiplicité des techniques utilisées (terre cuite, moulage, bronze, encre de Chine, mine de plomb, fusain), et dans celles des formats (allant des petites sculptures animalières aux formes monumentales d'autels de cathédrales). Elle apparaît également dans les thèmes récurrents choisis, même si ceux-ci sont cent fois repris, approfondis comme si l'artiste n'avait jamais épuisé le sujet : l'animal (chevaux, vaches, chats…) scruté, analysé au plus près dans sa morphologie, mais aussi saisi dans sa surprenante spiritualité, la ville et ses amples structures, les hommes dans des foules en mouvement, l'exode, la migration et l'envol des oiseaux…
Georges Schneider, sculpteur animalier ? Artiste humaniste et spiritualiste ? Créateur religieux et symboliste ? Toutes ces distinctions ne semblent pas pertinentes chez cet artiste singulier, pour qui la contemplation naît du quotidien le plus concret et le plus simple, et le sacré de la force même de la vie des êtres et des formes universelles. Georges Schneider en 1981 nous dit qu'« il ne doit y avoir aucun hiatus entre l'art dit profane et l'art dit sacré, autrement dit la création doit être une, ou du moins tendre vers l'unité ». C'est donc à une quête de l'unité, à la fois cachée et révélée, que cette œuvre nous convie à travers la diversité des thèmes obstinés, des formes et des techniques.